à propos de Déclin (tome 1 et 2)

Avec Déclin, Joël Hartmann nous embarque dans une aventure que pour rien au monde nous ne souhaiterions vivre. Pourtant une question lancinante se pose tout au long des deux tomes de Déclin : « Et nous, et moi, qu'aurais-je fait dans cette situation ? »

Le rythme du premier volume nous emporte avec horreur et il faut bien le dire curiosité dans les abîmes d'un monde rongé par l'hostilité et le rejet. Avec le tome 2 se construit une empathie grandissante envers son héros, Joël Hartmann façonne avec brio, page après page, le long cheminement qui nous conduit à l'inéluctable. Heureusement, il nous livre aussi la clé qui fermerait le passage vers ce Déclin. Une belle réussite.                                                                      Jiem (sur Babelio)

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Merci du bonheur procuré par ton écriture savoureuse !
                                                                                                  Muriel (mail)

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J'avais adoré la première partie, je ne pouvais manquer la seconde ! Déclin est un roman magnifiquement écrit qui nous conte l'effondrement de nos sociétés suite à une panne mondiale d'électricité. On retrouve au fil des pages des touches de "ravages" de Barjavel, ou de "Je suis une légende" de Richard Matheson, mais le bouquin et l'auteur possèdent leur propre "patte". Je m'arrête à nouveau sur la qualité de plume de Joël Hartmann, ce livre est un pur bijou ! C'est un roman haletant, immersif, que je vous conseille vivement.
                                                                                                    Chris Guenot (sur Babelio)

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J'ai ouvert votre livre, par curiosité, mais je dois dire qu'il m'a littéralement attrapée. Je suis dans votre histoire et j'ai hâte d'en connaitre le dénouement. Mais surtout, je prends beaucoup de plaisir à vous lire à chaque page. Vous écrivez vraiment très bien. J'ai relevé des phrases qui m'ont beaucoup plu, des images bien amenées. Le suspense est total et le contenu très intéressant.                                                   Karine (mail)

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Très bon roman. J'ai dévoré les 200 premières pages dans la journée, et terminé le livre le lendemain. En plein suspens, j'attends le tome 2.                                                     PM (FNAC)

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Désespoir... mais aussi un peu de lumière qui perce les nuages gris.

L'auteur nous entraîne dans une société qui s'effrite alors que la nature elle, semble reprendre ses droits. Réflexions sur la place de l'homme dans son environnement, ses impacts, ses interactions, ses besoins d'échanges, de partage... il peut faire preuve de violence, mais aussi de bienveillance, d'altruisme... J'attends avec impatience la suite.               (Kindle ; achat vérifié)

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à propos de Résiliences

De rencontre en rencontre, de culture en culture, c'est à une réflexion philosophique sur la place de l'Homme et ses devoirs envers la planète et le vivant que l'auteur nous conduit.

Résiliences nous convie à être les témoins de la naissance d'une civilisation nouvelle, plus humble, plus vertueuse, plus respectueuse, plus humaniste et oublieuse de l'engrenage infernal de l'incessante exponentielle croissance. Utopie, me direz-vous ? Il est vrai que la part sombre de la pensée humaine est toujours prompte à refaire surface.

Mais rêvons un peu et laissons-nous emporter par la lumière, la clémence et l'espoir de ce dernier opus éclaboussant d'optimisme.                                                               Marie (sur Babelio)

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Après les temps sombres vient la lumière.

Est-ce une utopie que Joël Hartmann nous livre avec Résiliences ? L'utopie plonge ses racines dans le songe, le rêve et c'est ce que fait ce roman en nous menant vers les paradis originels de « l'homme (femme) sauvage ». Mais en pointant du doigt la possibilité de faire des choix afin d'éviter la catastrophe du déclin, il va plus loin. L'homme n'est pas fait pour vivre seul comme le héros de Déclin 2, il a besoin de se nourrir du contact, des apports de l'autre. Dans son ouvrage Joël Hartmann désigne un Autre plus voltairien, fruit de tout ce qui fait le monde : animaux, végétaux, eau…

Un beau roman que je conseille pour sa qualité d'écriture, sa précision ethnographique et son rayon de soleil.
                                                                                              Jiem (sur Babelio)

à propos de Freeland

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à propos des Disparus de Rochefort

Je viens de terminer la lecture de ce roman. Les premières pages concernent l'Histoire et raviront les amoureux de récits historiques, puis on entre d'un coup dans l'histoire du roman à proprement parler et là, impossible de m'arrêter. Le besoin de savoir le pourquoi du comment, de comprendre comment le personnage principal a pu se mettre dans cette situation sans le vouloir et surtout de découvrir la vérité. Mais que s'est-il vraiment passé ?
Une histoire bien menée, bien ficelée comme je les aime.
                                                                          Mélanie M.B (via FaceBook)

à propos de Mémoires posthumes d'un déporté

Très émouvant le livre de et sur ton papa. À faire lire dans les établissements scolaires.
                                                                                Philippe (par mail)

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Je viens juste de finir les Mémoires de ton père (lu entre hier soir et aujourd'hui). J'ai trouvé son témoignage d'une sobriété bouleversante : la sincérité et la recherche d'objectivité même dans les passages les plus durs fondent la singularité de ces Mémoires. Pas d'emphases, juste ce qu'il faut pour comprendre l'ampleur du traumatisme vécu. Ce qui a particulièrement retenu mon attention, c'est l'importance que « la solidarité » a pu avoir dans les instants les plus sombres de son histoire à Sachsenhausen. Paradoxalement, j'ai pu appréhender certains aspects que je ne connaissais pas dans l'histoire des camps, à savoir la hiérarchie interne qui pouvait y régner. Plus qu'une simple vie d'Homme, c'est une leçon d'humilité que nous offre ce livre. Je regrette sincèrement le fait que ces témoignages ne soient pas plus mis en avant. Ils nous apprendraient, en effet, à relativiser nos problèmes quotidiens tout en nous faisant prendre conscience de la nécessité du devoir de mémoire indispensable à la préservation de la paix.
                                                                                            Maxime (par What'App)